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en ligne
Ces éléments d’information sont fournis en réponse à votre question d’information médicale et peuvent contenir des données ne faisant pas partie des indications validées dans nos autorisations de mise sur le marché. Pour une information complète, se reporter au Résumé des Caractéristiques du Produit.
Olumiant® (baricitinib) : Incidence des hépatites virales dans la dermatite atopique
Des cas de réactivation virale ont été rapportés dans les études cliniques portant sur le baricitinib. Un dépistage des hépatites virales doit être réalisé conformément aux recommandations cliniques avant le début du traitement par baricitinib.
FR_cFAQ_BAR112B_HEPATITIS_AD
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fr-FR
Mises en garde et précautions liées aux infections, à la réactivation virale et aux élévations des transaminases hépatiques
Infections
Des infections graves et parfois d’issue fatale ont été rapportées chez des patients recevant d’autres inhibiteurs de JAK.1
Le baricitinib est associé à une augmentation du taux d’infections par rapport au placebo, notamment des infections des voies respiratoires supérieures. Dans les études cliniques portant sur la polyarthrite rhumatoïde, l’association avec le méthotrexate a entraîné une augmentation de la fréquence des infections par rapport au traitement par baricitinib en monothérapie chez les patients naïfs de tout traitement.1
Les risques et les bénéfices d’un traitement par baricitinib doivent être pris en considération avant l’instauration du traitement chez les patients présentant des infections actives, chroniques ou récurrentes.1
En cas de survenue d’une infection, le patient doit faire l’objet d’une surveillance étroite et le traitement par baricitinib doit êtretemporairement interrompu si le patient ne répond pas à un traitement standard. Le traitement par baricitinib ne doit pas être réinstauré avant guérison de l’infection.1
Compte tenu de l’incidence plus élevée d’infections dans les populations de patients âgés et de patients diabétiques en général, des précautions doivent être prises lors du traitement de ces patients. Chez les patients âgés de 65 ans et plus, le baricitinib ne doit être utilisé qu’en l’absence d’alternative thérapeutique appropriée.1
Réactivation virale
Des réactivations virales, dont des cas de réactivation de virus herpétiques (par exemple zona, Herpes simplex), ont été rapportées dans les études cliniques. Dans les études cliniques portant sur la polyarthrite rhumatoïde, le zona a été rapporté plus fréquemment chez les patients âgés de 65ans et plus ayant déjà été traités à la fois par des DMARD biologiques et conventionnels.1
Un dépistage des hépatites virales doit être réalisé conformément aux recommandations cliniques avant le début du traitement par baricitinib.1
Les patients présentant des signes d’infection active par le virus de l’hépatiteB ou de l’hépatiteC étaient exclus des études cliniques.
Les patients, qui présentaient des anticorps contre le virus de l’hépatite C, mais négatif au test d’ARN de ce virus, ont été autorisés à participer.
Les patients ayant des anticorps dirigés contre les antigènes de surface et contre la nucléocapside du virus de l’hépatite B, sans présence d’antigène de surface du virus de l’hépatite B, ont également été autorisés à participer ; une surveillance étroite par mesure de l’expression de l’ADN du virus de l’hépatite B (VHB) devait être mis en place chez ces patients.
en cas de détection de l’ADN du VHB, un hépatologue doit être consulté pour déterminer si l’interruption du traitement est justifiée.1
Élévations des transaminases hépatiques
Des augmentations dose-dépendantes de l’activité des alanine aminotransférases (ALAT) et des aspartate aminotransférases (ASAT) sanguines ont été rapportées chez les patients traités par baricitinib par rapport à ceux sous placebo. Des augmentations des ALAT et des ASAT à un niveau supérieur ou égal à 5 et 10 fois la limite supérieure de la normale (LSN) ont été rapportées chez moins de 1 % des patients au cours des études cliniques. Dans les études cliniques portant sur la polyarthrite rhumatoïde chez les patients naïfs de tout traitement, l’association de baricitinib avec le méthotrexate a entraîné une augmentation de la fréquence des élévations des transaminases hépatiques par rapport au baricitinib en monothérapie.1
Si des augmentations de l’ALAT ou de l’ASAT sont observées pendant la prise en charge de routine des patients et qu’une lésion hépatique d’origine médicamenteuse est suspectée, le traitement par baricitinib doit être temporairement interrompu jusqu’à ce que ce diagnostic soit exclu.1
Informations relatives aux hépatites virales issues des protocoles des études cliniques de phase3 BREEZE-AD
Critères des protocoles relatifs aux hépatites virales
Hépatite B
Les patients présentant des signes d’infection active ou chronique par le virus de l’hépatiteB étaient exclus des essais cliniques.2
Avant l’inclusion dans les études, les patients devaient être testés pour détecter l’HBsAg, l’HBcAb et l’ADN du VHB. Un test positif pour le virus de l’hépatiteB était défini de la manière suivante:
positif pour l’HBsAg; ou
positif pour l’HBcAb et positif pour l’ADN du VHB.2
Les patients présentant des signes d’infection active ou chronique par le virus de l’hépatiteC étaient exclus des essais cliniques. Les patients étaient exclus s’ils étaient positifs pour l’anticorps anti-hépatiteC avec présence confirmée d’ARN du VHC.2
Les patients étaient autorisés à intégrer les études s’ils avaient pris un traitement documenté contre le VHC dans le cadre d’une infection passée par le VHC et s’ils étaient négatifs pour l’ARN du VHC.2
Autres types d’hépatite virale
Aucun autre type d’hépatite virale n’était précisé dans les critères d’exclusion. Cependant, les patients étaient exclus de la participation s’ils:
présentaient ou avaient récemment présenté une infection virale cliniquement grave;
présentaient les anomalies biologiques suivantes lors du screening:
ASAT ≥2fois la limite supérieure de la normale (LSN);
ALAT ≥2fois la LSN;
bilirubine totale ≥1,5fois la LSN;
présentaient ou avaient présenté des troubles hépatiques ou toute autre pathologie grave et/ou instable qui, de l’avis de l’investigateur, pourrait constituer un risque inacceptable lors de la prise du médicament expérimental ou pourrait interférer avec l’interprétation des données.2
Surveillance des hépatites virales pendant les essais cliniques
Les résultats pour l’ADN du virus de l’hépatiteB étaient classés de la manière suivante:
non détectable;
détectable mais inférieur à la limite inférieure de quantification;
détectable et supérieur à la limite inférieure de quantification.2
Surveillance de l’ADN du virus de l’hépatite B dans les essais cliniques portant sur l’utilisation du baricitinib dans la dermatite atopique2a
Si...
Alors...
un seul résultat de test était «inférieur à la limite de quantification»
le test était répété au cours des 2semaines qui suivaient
le résultat du test répété était «indétectable»
la surveillance était répétée conformément au calendrier de l’étude
au moins 2résultats de tests étaient «inférieurs à la limite de quantification»
le patient devait arrêter définitivement le traitement de l’étude et était adressé à un spécialiste en hépatologie
un seul résultat de test était «supérieur à la limite de quantification»
le patient devait arrêter définitivement le traitement de l’étude et était adressé à un spécialiste en hépatologie
Abréviations: ADN=acide désoxyribonucléique.
aLes patients qui étaient positifs pour l’HBcAb et négatifs pour l’ADN du VHB (non détectable) faisaient l’objet d’un dosage de l’ADN du VHB à la semaine 16.
Surveillance des autres types d’hépatite virale
Le dépistage en série de l’ARN du VHC et la surveillance des autres types d’hépatite virale n’étaient pas réalisés en routine dans les études cliniques. Cependant, une sélection de tests a pu être effectuée en cas d’anomalie hépatique survenant sous traitement. Ces tests portaient sur:
les anticorps anti-hépatiteA (totaux et IgM);
l’hépatiteB (antigène de surface, anticorps de surface et anticorps nucléocapsidique);
Abréviations: ADN du VHB=acide désoxyribonucléique du virus de l’hépatiteB; BARI=baricitinib; DA=dermatite atopique; HBcAb=anticorps nucléocapsidique de l’hépatiteB; HBsAb=anticorps de surface de l’hépatiteB; LIQ=limite inférieure de quantification.
aLes patients étaient autorisés à entrer dans les études cliniques portant sur la dermatite atopique s’ils étaient positifs pour l’HBcAb et négatifs pour l’ADN du VHB. Ces patients faisaient l’objet d’une surveillance pendant les études avec un dosage de l’ADN du VHB après l’inclusion.
bLe patient recevait le BARI 2 mg dans l’étude initiale et n’a pas participé à l’étude d’extension à long terme. Aucun autre dosage de l’ADN du VHB en laboratoire n’a été réalisé.
cLe patient recevait le BARI 4 mg dans l’étude initiale et dans l’étude d’extension à long terme. Outre les résultats pour l’ADN du VHB, une hépatomégalie a été mise en évidence à l’échographie et le patient a dû quitter l’étude. Environ 3 semaines plus tard, les résultats des examens biologiques étaient normaux.
La population d'analyse BARI DA toutes doses incluait 2531 (total des PAE=2247,4) patients atteints de DA issus de 1étude de phase2, de 5études de phase3 et de 2études d’extension de phase3 ayant reçu le BARI à différentes doses, dont les suivantes:
Inclut tous les patients ayant été exposés au BARI, pour toute dose, à tout moment au cours des études, que ce soit à la randomisation ou au changement de traitement ou d’un traitement de secours depuis le placebo. Les données n’ont pas été censurées au changement de dose.2
Remarque: la dose de BARI 1mg a été étudiée dans les études pivotales, mais n’est pas autorisée. Pour connaître la posologie autorisée, veuillez consulter le résumé des caractéristiques du produit.
Événements indésirables de type hépatite virale dans les études cliniques portant sur la dermatite atopique
Les événements apparus sous traitement liés aux hépatites virales dans l’ensemble de données de sécurité pour toutes les doses de BARI dans la DA incluaient: